Société
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Les quotidiens marocains parus ce lundi consacrent de larges commentaires à la célébration de l’anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple et de la fête de la Jeunesse ainsi qu’au phénomène du terrorisme.
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+Assabah+ écrit que la Révolution du Roi et du Peuple du 20 août 1953 constitue une étape décisive dans l’histoire contemporaine du Maroc, relevant que cette Révolution s’est poursuivie pendant des années à travers des chantiers d’envergure, des projets et des réalisations.
Il estime qu’il existe un seul moyen pour consolider cette révolution: renforcer l’Etat de droit, notant que cela implique de rendre pleinement opérationnel le principe de corrélation entre responsabilité et reddition des comptes, une réelle séparation des pouvoirs et l’égalité de tous les citoyens devant la loi.
+L’Opinion+ souligne que la célébration de la fête de la Jeunesse, un événement phare qui marque cette année le 54ème anniversaire de SM le Roi Mohammed VI, est une occasion nationale privilégiée de nature à mettre en exergue l’étroite corrélation entre les grandes réalisations accomplies par le Maroc grâce à l’engagement de toute les forces vives, dont, au premier chef, les jeunes sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI.
La publication note qu’à travers la fête de la Jeunesse, c’est le rôle qui incombe à la jeunesse marocaine prometteuse dans la construction d’un avenir digne des gloires et de la grandeur du passé, qui se voit mis en exergue, acté et consolidé.
La fête de la Jeunesse est un événement de portée profonde, car elle met en avant le potentiel des jeunes en tant qu’acteurs et partenaires de la société d’aujourd’hui et fer de lance des enjeux futures du Maroc, précise-t-il.
+Al Ittihad Al Ichtiraki+ fait remarquer que les derniers attentats terroristes ont mis l’accent sur la question de la lutte contre l’extrémisme et interpellent la structure éducative, comportementale et spirituelle de notre société.
Le journal explique que parmi les leçons qu’il faut tirer de ces événements est la nécessité de faire face au phénomène de l’extrémisme par une approche intégrée qui commence par l’enseignement, les médias, les réseaux sociaux et la famille.
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