Société
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La presse du Burkina Faso a largement commenté, ce mercredi, l’actualité relative aux faits de société et à l’économique.
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Le journal Le Quotidien revient sur la mise en œuvre du Plan national de développement économique et social (PNDES), informant que la Banque africaine d’import-export (AFREXIMBANK) «contribue à hauteur de 1,4 milliards de dollars».
Parlant du même sujet, le quotidien national Sidwaya arbore cette manchette: «Financement du PNDES : AFREXIMBANK entend apporter plus de 860 milliards de FCFA».
Selon les deux journaux, le prédisent du Faso Roch Marc Christian Kaboré a reçu, hier mardi à Ouagadougou, le président de AFREXIMBANK, Dr Okey Oramah.
Aujourd’hui au Faso, un autre quotidien privé, affiche : «Mise en œuvre du PNDES : AFREXIMBANK venue s’enquérir des nouvelles».
Pour sa part, Le Pays, journal privé, évoque à travers sa rubrique «Révélations», la crise au niveau de la Chambre de commerce et d’industrie du Burkina Faso (CCI-BF) en titrant: «Quand le bureau et les élus consulaires ne parlent plus le même langage».
Quant à L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, il s’intéresse notamment à la conférence de presse du ministère en charge des sports, à propos de la Coupe d’Afrique des nations (CAN-2017), tenue du 14 janvier au 5 février dernier, au Gabon.
Le journal cite à sa Une Boureima Coulibaly, directeur de cabinet du ministre des Sports qui dit au sujet de l’hébergement des supporters des Etalons qu’«il n’y a pas eu de détournement».
Le même quotidien parle du sit-in au ministère en charge des Infrastructures, mentionnant que «les hommes changent, le système demeure le même».
Pendant ce temps, Aujourd’hui au Faso affiche fait sa manchette sur les affirmations du prédicateur Frère Christian Boglo qui a déclaré, lors d’une conférence de presse, hier à Ouagadougou, que «Dieu est très fâché contre le gouvernement actuel».
A ce propos, Le Pays cite ces paroles du prédicateur concernant les attaques terroriste au Burkina Faso : «Les djihadistes ont commis la plus grave erreur de leur existence».
De son côté, L’Observateur Paalga fait remarquer que «Boglo prophétise et signe».
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