Sécurité
|
|
Pour la sécurité du sommet Afrique-France qui a ouvert ses portes officiellement depuis vendredi à Bamako, ce sont 10.000 hommes qui sont mobilisés. Leur mission, assurer la sécurité du sommet. Une initiative visant à empêcher une attaque de terroristes.
|
A ce sommet Afrique-France, plus d’une trentaine de chefs d’Etat sont attendus. Ils seront aux côtés du président français Hollande et son homologue malien Ibrahima Boubacar Keita.
Un sommet placé sous haute surveillance à cause de l’insécurité qui prévaut au Sahel, en général, et de la situation sécuritaire dégradée au Mali, en particulier. Les portiques de sécurité sont installés dans tous les lieux sensibles, les bâtiments sont fouillés avec des chiens renifleurs d’explosifs, les checks-points ont été multipliés aux niveaux des entées de la capitale malienne, etc.
Selon des témoins surplaces, "les forces armées maliennes et d’importants renforts français sont visibles un peu partout dans les rues, les hôtels et au Centre international de conférences et où doit se tenir la rencontre des chefs d’Etat".
Outre les 10.000 hommes mobilisés, 180 membres des nouvelles forces spéciales antiterroristes maliennes sont mis à contribution.
Des journaux font savoir que, "depuis ce matin, le centre-ville de Bamako ressemble à une ville morte. Seuls les véhicules accrédités ont le droit de circuler dans certaines zones et la route entre l’aéroport et le centre de conférences est désormais uniquement réservée aux cortèges officiels.
|
|