Politique
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Jean Ping n’a pas dit son dernier mot. L’opposant gabonais arrivé en 2ème position de la dernière élection présidentielle selon les résultats confirmés par la Cour Constitutionnelle, tient toujours à sa victoire. Il vient de créer le Conseil gabonais de la résistance qui a pour mission de faire front au pouvoir de Libreville et de provoquer par des voies pacifiques, l’alternance dans le pays.
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Le Conseil gabonais de la résistance, c’est la nouvelle arme de Jean Ping pour accéder au Palais du Bord de mer. A défaut d’avoir eu raison de son adversaire Ali Bongo par les urnes, Jean Ping veut rassembler les énergies pour mener la résistance face à celui-ci. C’est dans cette optique que le Conseil gabonais de la résistance a vu le jour pour combattre pacifiquement le pouvoir de Libreville. Il s’agira à travers cette structure, de coordonner et d’unifier les initiatives allant dans le sens de l’alternance.
Jean Ping ne veut pas en rester là s’agissant des violences qui ont marqué l’après proclamation des résultats provisoires. L’opposant appelle à de sanctions internationales contre Ali Bongo et ses collaborateurs. Le Conseil gabonais de la résistance sera aussi chargé de saisir les organisations de défense des droits de l’homme sur les violences post électorales. Les responsabilités devront être situées et justice rendue à la centaine de personnes civils qui selon l’opposition aura trouvé la mort lors des troubles.
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3
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mbot |
Mercredi, 12 Octobre 2016
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Ce monsieur est non seulement irresponsable mais aussi méchant. Il veut détruire le pays de sa mère parce que lui est chinois
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2
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Leon M'Ba |
Mardi, 11 Octobre 2016
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on lui a accordé le recomptage des voix qu'il avait refusé à Gbagbo, il échoue encore !!!!!
En bon citoyen gabonais il doit accepter courageusement sa défaite, féliciter le gagnant et apporter sa contribution au bâtissement de la nation !
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1
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J.lucien |
Lundi, 10 Octobre 2016
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Conseil gabonais de la résistance! Cette création spontanée rappelle étrangement les "Forces Nouvelles" de triste mémoire en Côte d'Ivoire.
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