Politique
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Les différents leaders qui selon Rfi, « menacent le processus politique », sont dans la ligne de mire de l’ONU.
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Non seulement qu’ils sont cités dans le récent rapport du groupe d’experts de l’ONU. C’est un rapport qui précise que ces derniers demeurent maîtres à l’intérieur de la Centrafrique. Pour cela, souligne Rfi, "le texte recommande aux Nations unies d'adopter de nouvelles sanctions" contre eux.
1 500 et 2 000 sont respectivement l’effectif approximatif des Anti Balaka et des Seleka selon les chiffres donnés par Aurélien Llorca, coordonnateur du panel d'experts.
"A l’ouest, nous avons toujours des groupes anti-balaka qui contrôlent les principaux axes et également les principales villes de l’ouest du pays tandis qu’à l’est et au nord, nous avons plusieurs factions Seleka qui exercent un contrôle direct sur les principales villes et également leur influence sur les axes et les régions rurales", a souligné Aurélien Llorca dans une interview accordée à Rfi.
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