Sécurité
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Le gouvernement ghanéen a annoncé lundi 23 Septembre avoir démentelé un réseau dans lequel seraient impliqués des militaires tentant de renverser le pouvoir par des armes. Une nouvelle glaçante que l'opposition et l'opinion publique prennent avec beaucoup de réserve.
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« Le groupe a mis en place des mesures pour se procurer des instruments lui permettant d'exécuter ses plans et a même commencé à tester certains d'entre eux. C'est pourquoi les agences de sécurité ont dû intervenir immédiatement. D'après le mémoire des agences de sécurité, ils surveillent les activités d'un groupe de personnes qui prévoyaient de renverser le gouvernement depuis environ 15 mois » lance le gouvernement dans un communiqué de presse.
Une oépration qui serait en gestation depuis 15 mois, et surveillée par les renseignements ghanaens comme du lait sur le feu. A ce jour, le gouvernement affirme détenir des preuves (audio, vidéos, matériels) pour traduire les suspects dans les rangs desquels,Dr. Frederick Yao Mac-Palm, Ezor Kafui (un fabriquant d’armes) et Bright Allan Debrah Ofosu en arrestation.
Alors que le dernier coup d'Etat dans le pays remonte à 38 ans, l'opposition, à un an de la présidentielle dans le pays, se pose des question sur cette version du gouvernement.
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