Politique
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Quatre (4) opposants ont quitté mardi les discussions entamées le 30 septembre.
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En quittant les assises, Alice Sadio de l’Alliance des forces progressistes (AFP) a indiqué que sa formation politique pourrait revenir à la table des discussions si ses « revendications sont prises en compte ».
Des personnalités comme l’ancien bâtonnier Akere Muna, candidat à la présidentielle 2018, Célestin Bedzigui, président du Parti de l’Alliance Libérale ou encore Jean Jacques Ekindi ont également claqué la porte.
Ces leaders politiques qui qualifient les assises de « monologue » dénoncent des divergences sur la méthodologie et le choix des thèmes attribués aux différentes commissions.
Sept cent (700) délégués prennent part à ces discussions dont la finalité est de trouver une issue à la crise dans les régions anglophones du Cameroun. Ils sont répartis en huit (8) commissions qui travaillent sur des thématiques comme le système judiciaire et éducatif, le désarmement des anciens combattants entre autres.
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