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Maroc Diversité de sujets à la Une des quotidiens marocains


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Diversité de sujets à la Une des quotidiens marocains

+L'Economiste+ reproche au gouvernement d’ « abandonner électeurs et concitoyens face aux fake news, aux infox » et aux élus d’avoir « verrouillé les commissions, voté des lois d’exclusion ».
En se refusant à son devoir d’informer, on croit « couvrir ses défaillances », alors qu’en réalité, « on déserte la batille, on la laisse aux mains de quelques poignées d’anonymes faiseurs d’opinion », tout fiers de « remporter victoire sur victoire face à un adversaire absent », explique le journal.

« Que faire avec ceux qui ne trahissent que leurs concitoyens, en leur refusant d’honnêtes comptes rendus, en les abandonnant sans défense dans des océans d’infox ? », se demande-t-il, soulignant l’impératif de partager l’information car, explique-t-il, les populations informées engendrent plus de leadeurs performants, capables d’améliorer la gestion institutionnelle.

+Aujourd’hui le Maroc+ affirme que beaucoup d’entreprises publiques sont dans une « situation d’éparpillement de leurs activités » et que certaines d’entre elles « se retrouvent avec des participations ou des actifs… avec leur cœur de métier ».

A force de vouloir sécuriser leur périmètre et maîtriser leurs filières en amont et en aval, certaines entreprises publiques ont fini par s’investir elles-mêmes dans des métiers à coups de milliards et en ont oublié leur mission première, relève la publication.

A la fin des années 80, le Maroc avait osé une première vague de privatisation, globalement réussie, malgré quelques couacs. Et au moment où le gouvernement est justement à la recherche des fonds pour l’urgence sociale, les privatisations pourraient être une bonne piste à ne pas écarter, propose-t-il.

+Al Massae+ rapporte que les autorités de Melilla se sont-elles résignées à l’idée que le développement économique de la ville occupée ne peut avoir lieu sans une relation saine et sereine avec le Maroc? En tout cas, à en croire le quotidien, même ceux qui, par le passé, attaquaient de manière virulente le Maroc, exhortent aujourd’hui le gouvernement espagnol à conclure un nouveau Traité de voisinage et d’amitié avec le Royaume de manière à donner un nouvel élan aux relations entre les deux pays et de permettre la redynamisation de l’activité commerciale de Melilla.

Citant des sources espagnoles, le journal explique que cet appel intervient dans un contexte où la ville occupée essuie des pertes de plus de 200 millions d’euros, vraisemblablement consécutives à la décision prise par le Maroc de déplacer les services de dédouanement au port de Beni Ansar, à Nador. Cette initiative effective depuis août dernier avait, pour rappel, provoqué l’ire, à Melilla, de certains responsables espagnols qui y ont vu un coup de massue porté à l’activité commerciale du préside occupé.

C’est ainsi que la Coalition pour Melilla (COM) a annoncé sa volonté de saisir le gouvernement espagnol pour conclure ce Traité rapidement. Celui-ci remplacerait celui signé sous le mandat d’Abass El Fassi. L’objectif de ce Traité serait ainsi d’instaurer un nouveau climat de coopération entre les autorités de la ville occupée et le reste du Maroc.

La publication rappelle toutefois que le président du gouvernement local semble plutôt militer pour une «indépendance» de l’économie de Melilla vis-à-vis du Maroc. Dans de précédentes déclarations, il avait en effet considéré qu’il était temps pour la ville occupée de renforcer ses liens avec le nord, en référence aux autres villes espagnoles de la rive nord de la méditerranée, au lieu du sud, référence cette fois-ci au Maroc.

+La Vie Eco+ relève que le marché publicitaire traverse une mauvaise passe. Une situation qui impacte durement les opérateurs. Ces derniers s’adaptent comme ils peuvent pour survivre. Aucun métier relevant du secteur de la communication n’est insensible à l’évolution du marché publicitaire qui a lourdement chuté à fin juillet 2018 par rapport à la même période de l’année dernière.

Il faut savoir que les recettes publicitaires sont passées de 3,46 milliards de dirhams à 3,11 milliards de dirhams, selon les statistiques du Groupement des annonceurs du Maroc (GAM). Selon l’hebdomadaire, ce contexte difficile est en train de devenir un tournant dans l’histoire de la production audiovisuelle. On apprend ainsi que les entreprises du secteur mettent en place, chacune de son côté, une stratégie de survie. Et le digital prend désormais une place centrale dans cette nouvelle vision.

«Le numérique prend de plus en plus d’ampleur. Il y a un besoin croissant en matière de films dédiés aux enfants. Il ne faut pas oublier que 50% des ménages ont des enfants de moins de quinze ans qui sont connectés en permanence», affirme un acteur du marché de la production audiovisuelle, cité par le journal. Un autre acteur s’est orienté vers l’événementiel, qui représente, affirme le journal, une vraie bouffée d’oxygène pour les maisons de production, dans la mesure où ce sont les collectivités territoriales qui animent ce marché.

Une chose est certaine: la contraction des budgets publicitaires par les annonceurs affecte vraiment les opérateurs. Et pour survivre, d’autres se sont spécialisés dans la production de films institutionnels, de documentaires en particulier, vu que le centre cinématographique marocain (CCM) octroie des subventions (jusqu’à 70% selon les opérateurs) pour cela.



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