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Burkina-Faso La marche-meeting de l’opposition se déporte à la une des quotidiens burkinabè


People et faits divers

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Les quotidiens burkinabè de ce lundi commentent largement la marche-meeting organisée par le Chef de file de l’opposition politique (CFOP), deux jours plus tôt, à Ouagadougou.

«Gouvernance politique : Le +ras-le-bol+ de l’opposition», arbore le quotidien à capitaux publics Sidwaya qui fait remarquer que «mobilisés pour la marche-meeting, les manifestants ont traduit, samedi dernier, leur mécontentement quant à la gestion du pays.

Pour sa part, Le Pays, quotidien privé, reprend à sa une les propos du Chef de file de l’opposition politique (CFOP), Zéphirin Diabré qui a déclaré lors du meeting : «Quand l’opposition somnole, le pouvoir ronfle et croit qu’il est là pour 50 ans».

Selon le confrère, le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré «se ferait harakiri en négligeant l’évènement».

Quant au journal privé Le Quotidien, il reprend en une cette déclaration de M. Diabré concernant les dirigeants du Burkina Faso : «Ils sont venus en disant qu’ils étaient la solution, aujourd’hui ils sont le problème du Burkina».

De son côté, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè, affiche: «Marche meeting du 29 septembre: l’opposition réclame la tête des ministres de la défense et de la sécurité».

Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, abonde dans le même sens lorsqu’il mentionne : «Les têtes des ministres sécurocrates demandées».

Le même journal, dans son éditorial, parle de «là où l’opposition a péché».

Le commentateur relève que les déclarations et autres discours prononcés pendant cette marche-meeting ne sont pas éloignés des réalités que vivent les Burkinabè et qu’ils racontent autour d’un kiosque, dans les bureaux, au marché ou dans n’importe quel lieu de retrouvailles humaines où la parole est libérée.

«L’insécurité au Sahel et à l’Est inquiète fortement. Le pouvoir d’achat des Burkinabè connaît de fortes tensions. Les services sociaux répondent difficilement à l’appel. Bref, les signaux ne sont pas totalement au vert et les lendemains ne sont pas rassurants. L’opposition a donc tout à fait raison de voguer sur cette vague», fait observer l’éditorialiste.

Et d’ajouter que «toutefois, certains messages véhiculés lors de cette manifestation n’ont pas manqué de réveiller la fibre de l’interrogation».

«Comme ces pancartes qui appellent au retour de l’ancien président Blaise Compaoré. Ou alors celles qui vocifèrent pour la libération de Safiatou Lopez. Passe encore, que ceux qui ont battu le macadam ce 29 septembre demandent à Roch de congédier les ministres de la défense et celui de la sécurité…», explique le confrère.



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