Société
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Le licenciement est presque certain pour 300 agents d’ici le mois de juillet. Au nom de la restructuration, des centaines d’employés se retrouvent sans emploi.
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Une menace de « départ volontaire», ou un licenciement pour motif économique, plane sur 300 agents de la Caisse nationale des caisses d’épargne (Cnce). D'ici le 18 juillet prochain, ils seront au total 300 agents de la Caisse nationale des caisses d’épargne (Cnce) à se trouver au chômage. Ce licenciement massif s’inscrit dans la cadre d’un plan de la restructuration engagée ces dernières années.
Ledit plan de restructuration va couter entre 1,9 et 2 milliards de FCFA.
La gestion provisoirement de la CNCE a été confiée à Antoine Yéo Cassaignan pour son redressement depuis juin 2015, après une gestion chaotique de son ancien directeur général, Diabagaté Mamah. En décembre 2017, un nouveau DG en la personne de Issa Fadiga été nommé.
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