Société
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Les hebdomadaires marocains parus ce samedi se focalisent sur nombre de sujets notamment la question de l'intégrité territoriale du Royaume et la candidature du Maroc au Mondial 2026.
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Revenant sur la rupture des relations entre le Maroc et l’Iran, +Finances news hebdo+ affirme que qu'il s'agit de la seconde rupture diplomatique après celle qui a duré de 2009 à 2014.
Cette posture « intransigeante » du Maroc à l’égard de l’Iran « tient à un seul fait : la ligne rouge a été franchie », eu égard à la « connivence avérée » et au « soutien militaire de son allié, le mouvement Hezbollah », au polisario, relève l’hebdomadaire.
Et dans cette affaire, le Royaume « aurait été bien élégant, car avant de prendre cette décision, il a pris la courtoisie d’en informer l’Iran », souligne-t-il.
Evoquant la récupération par l’OCP de la cargaison de phosphates, qui avait fait l’objet d’une saisie conservatoire en Afrique du Sud, +Challenge+ affirme que le jeu des séparatistes « n’a pas eu le succès attendu » et « leur mentor semble fatigué par ses problèmes internes bien qu’il lance dans un désordre hystérique, des menaces et organise des manœuvres militaires pour détourner l’attention des citoyens algériens des vrais problèmes qui rongent leur gestion publique en milliard de dollars ».
Le +Temps+ s’inquiète de la candidate marocaine au « Mondial 2026 ». « Non pas que l’on se rende compte subitement de ses faiblesses, mais le vent semble tourner, les règles du jeu de la Fifa changent curieusement et l’Oncle Sam menace toute la planète, promettant de punir tout pays qui voterait contre lui en soutenant le dossier marocain », souligne le journal, dénonçant un « déni de la morale de la bienséance », jamais vu dans les annales de football mondial.
+La Vie éco+ se demande « jusqu'à où dérivera » la capitale économique. « Le commandant à bord semble faire plus dans l’improvisation que dans la stratégie, colmater les brèches plutôt qu’appliquer des solutions à long terme, tuer le temps en attendant un petit miracle, au lieu d’en être l’instigateur », estime l’hebdomadaire.
Deux ans et demi après l’installation du nouveau conseil de la ville, le visage de Casablanca « n’a cessé de s’assombrir, de se déformer, reflétant une gestion hasardeuse », estime-t-il.
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