Société
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Les quotidiens béninois parus mercredi traitent d’une diversité de sujets, dont la reprise annoncée des cours dans les écoles suite à la levée du mot d’ordre de grève, le vote par le parlement de la loi sur loyer, et la garde à vue de l'industriel français, Vincent Bolloré.
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« Suspension de la grève dans le secteur de l'éducation : 51 syndicats retrouvent la raison », écrit Best Info, se réjouissant : « Enfin l'école reprend pour le bonheur des apprenants ».
« Grève dans le secteur de l'enseignement-La Cstb, l'Unstb, et la Cosi-Benin perdent toute leur crédibilité », note Djakpata.
Ce qui fait dire à Libération qu’après la « suspension de la grève par le front, les syndicalistes déjouent le plan machiavélique des opposants ».
Les Pharaons concluent : « Dégel de la crise dans le secteur éducatif-Suspension générale de la grève, les examens de fin d'année prévus pour juin 2018 ».
Revenant sur la loi réglementant la caution sur le loyer, Le Matinal explique qu’elle va « encadrer l'immobilier » et mettre fin « au calvaire des locataires ».
« Assemblée nationale : La caution sur le loyer désormais fixée à trois mois », indique Bénin Intelligent.
Pour Djakpata, « le Parlement prend des mesures juridiques pour encadrer les affaires de loyer ».
Libération trouve plutôt que « les députés adoptent une loi hautement sociale ».
De son côté, Fraternité dissèque « les innovations de la loi sur le bail », précisant que c'est la fin des abus sur le locataire.
« Épinglé par la justice française, Bolloré un corrupteur de dirigeants africains en prison », titre Le Béninois Libéré.
Afrique Express, pour sa part écrit : « France-Togo-Guinée/Corruption justice : L'homme d'affaires Vincent Bolloré entendu par la police ».
Selon La Dépêche, « pour avoir pêché en eaux troubles sur les côtes africaines, Bolloré ferré par la justice française ».
Et la Presse du Jour de s'interroger : « Garde à vue de Bolloré dans des dossiers de concessions de ports en Afrique-L'étau se resserre-t-il sur Yayi? ».
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