Société
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Les quotidiens béninois parus lundi traitent largement de la visite à Paris (France) du chef de l’Etat, Patrice Talon, et de la grève des enseignants.
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Dans sa manchette, Nord Sud Quotidien écrit : « De retour de sa visite de travail. Le chef de l’Etat fait un point satisfaisant ».
Dans la même dynamique, Les Pharaons note que «de retour à Cotonou, Patrice Talon fait le point de la coopération économique entre la France et le Bénin ».
Libération parle aussi de la visite de Talon en France et insiste sur ses «retombées au-delà de toute espérance ».
« Le président Patrice Talon de retour de Paris samedi dernier. Ce fut une visite de travail satisfaisante », rapporte La Nation, qui fait état de cinq jours d’intenses activités diplomatiques en France pour le chef de l’Etat.
Dans ce journal, Patrice Talon se félicite de « la qualité et des résultats des multiples séances de travail qui ont eu lieu dans divers domaines et à divers niveaux consacrent la nouvelle dynamique de coopération entre la France et le Bénin ».
Le Matin conclut sur ce sujet : « De retour après sa visite de travail en France, Talon satisfait de la coopération bénino-française ».
Les quotidiens se focalisent également sur la tension sociale qui continue de sévir. Ainsi, Le Matin titre-t-il : «Décrispation de la crise socio-politique au Bénin, le gouvernement invite les syndicalistes au dialogue sans conditions ».
La Nation soulève «la main tendue du gouvernement » aux grévistes dans l’administration.
Selon ce quotidien national, le gouvernement est dans une démarche pacifique face à la cessation collective de travail observée, depuis quelque temps, par les travailleurs.
Parlant de «grève perlée », Le Pays Emergent s’inquiète de la menace d’une année blanche et titre : «Talon coincé de toutes parts, son régime aux abois ».
« Annonce de dialogue, le gouvernement a capitulé », note L’Afrique en Marche. Et Info-Plus de conclure : « Rencontre entre le président Patrice Talon et les syndicats. Le chef de l’Etat décidé à sortir l’école de la déchéance et de la décrépitude ».
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