Société
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Les quotidiens marocains parus ce vendredi se focalisent sur divers sujets notamment le secteur bancaire et le Symposium international sur le football africain.
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+L'Economiste+, qui aborde le secteur bancaire, affirme que ce secteur « est à l’aise, très à l’aise sur l’exercice de 2016. Mais il n’empêche que les bénéfices sont en baisse par rapport à 2015. Pas de quoi s’inquiéter, mais au moins de quoi se poser quelques questions".
« On aura raison de faire remarquer que les banques suivent la conjoncture. Les entreprises ne vont pas bien depuis déjà longtemps. Les ménages qui l’ont pu se sont endettés dans des proportions un peu trop fortes. D’autres particuliers sont en difficulté dans leur emploi ou l’ont perdu. Alors que le nombre de jeunes adultes augmente, la population active, qui a ou espère un travail, diminue. C’est malheureusement un signe absolu de démoralisation économique », constate-t-il.
+Bayane Al Yaoum+ revient sur le Symposium international sur le football africain, qui a été tenu à Skhirat à l'initiative de la Confédération africaine de football (CAF) en collaboration avec la fédération royale marocaine de football (FRMF).
La publication souligne que cette rencontre fait foi que la FRMF est dynamique sur les plans continental et international.
Ce que réalise actuellement le Maroc au niveau africain, à travers la FRMF, n’est pas chose facile, puisque il y a quelques années la moindre de ces réalisations n’était pas possible ni même imaginable, estime-t-il, appelant à faire preuve de crédibilité dans toutes les démarches, de privilégier le sérieux et le professionnalisme et de s’orienter clairement vers l’avenir.
+L’Opinion+ relève que fonctionnaires et salariés sont les plus endettés. En 2016, les individus dont le revenu ne dépasse pas 4000 DH ont bénéficié de 23,2% du total du montant des crédits à la consommation.
Les individus dont la tranche de revenus est située entre 4000 et 10.000 DH et ceux ayant un revenu supérieur à 10.000 DH ont bénéficié respectivement de 35,4% et 41,3% de ce montant, selon la Banque Centrale, citée par le journal, ajoutant que les individus les plus endettés appartiennent à la tranche d’âge comprise entre 41 et 60 ans.
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