Société
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Les quotidiens burkinabè de ce vendredi, ont largement commenté, l’arrêt de travail organisé conjointement par le Syndicat autonome des agents du Trésor du Burkina (SATB) et le Syndicat national des agents des impôts et des domaines (SNAID) relatif au partage du ‘’Fonds commun’’.
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«Grève SATB-SNAID : les 4 griefs des 2 syndicats», affiche à sa Une, le quotidien privé Aujourd’hui au Faso qui donne aussi l’«éclairage gouvernemental sur le Fonds commun».
Selon le journal, le Secrétaire général (SG) du ministère de l’Economie, des Finances et du Développement (MINEFID), Séglaro Abel Somé a animé un point de presse, hier jeudi à Ouagadougou, en vue de donner «plus d’explications» sur le mouvement lancé par les deux syndicats.
Le journal publie également, une déclaration signée de Seini Koanda, SG du SATB et de Nongo Grégoire Traoré, SG du SNAID.
Dans le document, les deux secrétaires généraux exposent en quatre points, les mobiles de leur mouvement d’humeur lancé le mardi dernier et qui s’achève, en principe, ce vendredi.
Selon les responsables syndicaux, les griefs sont, entre autres, «la question de relecture des textes portant FC (Fonds communs, Ndlr) », «l’accusation de déstabilisation» et «le non-respect des engagements».
Pour sa part, le journal Le Quotidien reprend en sa manchette, les propos du SG du MINEFID qui dit, au sujet du sit-in du SATB et du SNAID, que «les services du Trésor et des Impôts sont ouverts et fonctionnels».
Pendant ce temps, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, fait remarquer qu’à propos du Fonds commun, «ça coince sur la clé de répartition».
Quant au quotidien national Sidwaya, il titre : «Sit-in des agents du Trésor et des impôts: le gouvernement appelle les syndicats au dialogue».
Dans son compte rendu du point de presse animé, la veille par le MINEFID, le journal souligne qu’ont pris part à cette rencontre avec les journalistes, le Directeur général (DG) des Impôts Adama Badolo, le DG du Trésor Abraham Ouattare, la directrice de cabinet du ministère Clarisse Merindol/Ouoba et le Directeur des ressources humaines (DRH) du MINEFID Hamidou Sawadogo.
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