Société
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Les quotidiens marocains parus ce jeudi se focalisent sur nombre de sujets notamment les manifestations d’Al Hoceima, les fraudes dans les examens et les répercussions de la crise diplomatique dans le Golfe sur les ressortissants marocains.
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+L’Economiste+, qui critique le rôle des politiques dans les manifestations d’Al Hoceima, indique que toute la classe politique se précipite pour épouser les causes des manifestants.
« Comment ces agitateurs de chambre peuvent-ils prétendre au respect de leurs concitoyens ? Respect de leur personne et de leur fonction, bien sûr, mais pas seulement. C’est plus grave car ils jouent avec le respect envers l’institution. Savent-ils seulement avec quoi et de quoi ils s’amusent ? Avec quel passé, quels principes et avec lequel de nos avenirs, ils batifolent ?" écrit-il.
« On attend encore de voir quelqu’un ou quelqu’une parmi eux se dresser et les rappeler à un minimum de décence, à défaut de morale ou de vision politique », relève-t-il.
+Al Alam+ appelle à déterminer la responsabilité politique des événements d’Al Hoceima. La publication partisane affirme qu’il ne sera nullement probant de se contenter de reconnaitre le retard dans la réalisation de plusieurs projets structurants, précisant que personne ne sera en mesure aujourd’hui de convaincre l’opinion publique des vraies raisons derrières le retard manifeste dans la construction de la voie express Taza-Al Hoceima.
La responsabilité politique impose de dévoiler l’identité de la partie qui ne se souciait guère de construire cette route, souligne-t-il.
+Bayane Al Yaoum+ revient sur la fraude dans les examens. La tricherie est devenue un phénomène préoccupant et son aggravation décrédibilise le diplôme national, estime le journal.
L’atmosphère des examens du baccalauréat et les tricheries commises par les élèves dénotent la dégradation de la situation de notre système éducatif, aoute-t-il, soulignant l’urgence d’un plan d’action global dont l’objectif central serait de sauver l’école marocaine.
+Al Ahdath Al Maghribia+ s’intéresse aux répercussions de la crise diplomatique dans le Golfe sur les ressortissants marocains. Le journal rapporte que plusieurs Marocains désireux d’accomplir la Omra sont restés bloqués à l’aéroport de Doha à cause de la fermeture de l’espace aérien, suite à la crise qui a éclaté entre le Qatar et d’autres pays de la région.
Le quotidien précise que les 70 passagers marocains du vol QR396 de Qatar Airways et du vol AT216 de la RAM, à destination de Djeddah et Médine, ont passé des moments difficiles à l’aéroport Hamad de Doha, avant d’être évacués vers leur destination.
Grâce à la mobilisation des services de l’ambassade du Maroc à Qatar, les autorités de l’aéroport international Hamad ont assuré mardi, en coordination avec Qatar Airways, deux vols via Mascate et Koweït au profit de ces ressortissants marocains, après une escale forcée de 48 heures à Doha.
+L’Economiste+, qui critique le rôle des politiques dans les manifestations d’Al Hoceima, indique que toute la classe politique se précipite pour épouser les causes des manifestants.
« Comment ces agitateurs de chambre peuvent-ils prétendre au respect de leurs concitoyens ? Respect de leur personne et de leur fonction, bien sûr, mais pas seulement. C’est plus grave car ils jouent avec le respect envers l’institution. Savent-ils seulement avec quoi et de quoi ils s’amusent ? Avec quel passé, quels principes et avec lequel de nos avenirs, ils batifolent ?" écrit-il.
« On attend encore de voir quelqu’un ou quelqu’une parmi eux se dresser et les rappeler à un minimum de décence, à défaut de morale ou de vision politique », relève-t-il.
+Al Alam+ appelle à déterminer la responsabilité politique des événements d’Al Hoceima. La publication partisane affirme qu’il ne sera nullement probant de se contenter de reconnaitre le retard dans la réalisation de plusieurs projets structurants, précisant que personne ne sera en mesure aujourd’hui de convaincre l’opinion publique des vraies raisons derrières le retard manifeste dans la construction de la voie express Taza-Al Hoceima.
La responsabilité politique impose de dévoiler l’identité de la partie qui ne se souciait guère de construire cette route, souligne-t-il.
+Bayane Al Yaoum+ revient sur la fraude dans les examens. La tricherie est devenue un phénomène préoccupant et son aggravation décrédibilise le diplôme national, estime le journal.
L’atmosphère des examens du baccalauréat et les tricheries commises par les élèves dénotent la dégradation de la situation de notre système éducatif, aoute-t-il, soulignant l’urgence d’un plan d’action global dont l’objectif central serait de sauver l’école marocaine.
+Al Ahdath Al Maghribia+ s’intéresse aux répercussions de la crise diplomatique dans le Golfe sur les ressortissants marocains. Le journal rapporte que plusieurs Marocains désireux d’accomplir la Omra sont restés bloqués à l’aéroport de Doha à cause de la fermeture de l’espace aérien, suite à la crise qui a éclaté entre le Qatar et d’autres pays de la région.
Le quotidien précise que les 70 passagers marocains du vol QR396 de Qatar Airways et du vol AT216 de la RAM, à destination de Djeddah et Médine, ont passé des moments difficiles à l’aéroport Hamad de Doha, avant d’être évacués vers leur destination.
Grâce à la mobilisation des services de l’ambassade du Maroc à Qatar, les autorités de l’aéroport international Hamad ont assuré mardi, en coordination avec Qatar Airways, deux vols via Mascate et Koweït au profit de ces ressortissants marocains, après une escale forcée de 48 heures à Doha.
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