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Maroc Politique, économie et social au menu des quotidiens marocains


Société

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Les quotidiens marocains parus ce mercredi consacrent leurs Unes à divers sujets, dont la question du Sahara, la santé de l’économie nationale, la problématique du chômage et le secteur agricole.

+Aujourd’hui le Maroc+ fait savoir que l’Organisation des nations unies (ONU) examine lors de ce mois le rapport de la Minurso sur la question du Sahara marocain.

Si les observateurs ne s’attendent pas à un grand bouleversement dans ce dossier, l’exercice de cette année reste tout de même assez particulier. Le conseil de sécurité de l’ONU doit, en effet, se prononcer sur ce conflit alors qu’un nouveau secrétaire général de cette organisation vient de prendre ses quartiers à New York, écrit-il.

+Les Eco+ se fait l’écho de la dernière note publiée par le Centre marocain de conjoncture (CMC) et qui dresse la liste des déséquilibres de l’économie marocaine. Des failles auxquelles le nouveau gouvernement devra s’attaquer.

« L’économie marocaine montre des signes de déséquilibre inquiétants: le déficit des finances publiques a atteint des niveaux élevés, le taux d’endettement devient de plus en plus pesant et le solde négatif de la balance commerciale s’alourdit d’année en année », met en garde la note du CMC.

Les derniers résultats des échanges extérieurs, au titre de l’année 2016, publiés par l’Office des changes, sont tout sauf rassurants. On y apprend notamment que le déficit commercial s’est finalement établi à 184,6 milliards de dirhams, après une année 2015 de compression du déficit qui avait reculé à 154,2 milliards. En 2016, l’économie marocaine a renoué avec un déficit des plus importants de cette dernière décennie, avec une hausse vertigineuse des importations. Résultat: le taux de couverture se situe à 54,8% au lieu de 58,6% en 2015, relève la publication.


+L’Economiste+, qui aborde la problématique du chômage au Maroc, indique qu’ « El Othmani promet d’agir différemment », car « il y a plus d’un million de Marocains qui se déclarent chômeurs ».

Le quotidien déplore « des pertes nettes d’emplois dans les industries et le BTP, pertes trop élevées pour que les services et/ou l’agriculture réussissent à les combler ».

+Rissalate Al Oumma+ s’attarde sur le secteur agricole marocain, sur fond des prévisions d’un rebond de la production céréalière à 78 millions de quintaux et un accroissement de la valeur ajoutée agricole de 11,5% en 2017.

Le journal explique que le Maroc s’efforce de faire de l’agriculture un « secteur moderne », dont la production ne serait pas « tributaire du volume et de la régularité des pluies », soulignant la nécessité de rendre ce secteur « stratégique par excellence » afin d’assurer la sécurité alimentaire, de diversifier le tissu économique national et de « s’affranchir de la dépendance » aux autres.

Il estime qu’une politique agricole « intégrée » est susceptible de « renforcer le rythme de croissance », faisant savoir que la promotion du monde rural et l’amélioration des conditions de vie de ses populations « demeure un enjeu majeur difficile à remporter à défaut d’une politique agricole basée sur la mobilisation permanente de toutes les énergies nécessaires ».

+Al Alam+ cite une déclaration du ministre burkinabè de l'Energie, des Mines et des Carrières, Alfa Oumar Dissa qui a affirmé que le Maroc est un partenaire de premier plan pour le Burkina Faso, particulièrement sur le volet économique où le Royaume s'impose en tant que modèle dans plusieurs secteurs clés.

« Avec la mise en place en Burkina Faso du Plan national de développement économique et social (PNDES), censé dynamiser plusieurs secteurs phares du pays, le Maroc peut accompagner le gouvernement burkinabè pour atteindre les objectifs fixés par cette stratégie de croissance accélérée qui s’étale sur la période 2016-2020 », a souligné Dissa.

Au registre sportif, +Al Massae+ croit savoir que la Fédération royale marocaine de football (FRMF) a conclu un accord de partenariat avec l’Office national de la formation professionnelle et le Centre de droit et d'économie du sport (CDES) de Limoges en France.

Selon le quotidien, le président de la FRMF, Fouzi Lekjaa, a exprimé sa satisfaction totale après cette signature. « Nous avons beaucoup de travail à faire pour professionnaliser notre football et ça passe nécessairement par la bonne gouvernance des clubs », a estimé celui qui vient d’être élu pour un siège au sein du comité exécutif de la CAF.

Pour lui, les présidents des clubs doivent être formés dans les métiers du football et la gestion quotidienne de ce secteur sportif tout comme les membres fédéraux et lui même.



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