Société
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Les quotidiens burkinabè reçus à APA ce mercredi matin, ont commenté largement la suspension des grèves des agents de la santé et des finances.
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« Grève du SYNAFI : le mot d’ordre levé», titre le quotidien national Sidwaya qui informe qu’après un mois et dix jours de sit-in et de grève, les militants du Syndicat national des agents des finances (SYNAFI) ont repris le chemin de leurs bureaux, mardi 14 mars à 7 heures.
A ce sujet, le journal privé Aujourd’hui au Faso arbore : «Le SYNAFI suspend son long débrayage», ajoutant que l’information a été livrée, hier mardi, au cours d’une conférence de presse.
Quant à L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, il fait remarquer qu’après la suspension de la grève du SYNAFI, «Une opération casiers vides est organisée pour rattraper le retard».
Et c’est à juste titre que Le Quotidien, un autre privé, affiche ce titre : «Grève du SYNAFI : Le syndicat suspend son mot d’ordre et envisage une opération casier vide».
Le même quotidien évoque la signature du protocole d’accord entre le gouvernement et le Syndicat autonome des travailleurs de la santé humaine et animale (SYNTSHA).
Et le journal d’afficher en sa manchette : «Le mot d’ordre de grève levé», avant de souligner qu’«une fonction publique hospitalière (est) en cours d’élaboration».
Evoquant la signature du protocole d’accord entre le ministère de la santé et le SYNTSHA ayant permis de lever le mot d’ordre de grève, Aujourd’hui au Faso écrit : «La paix des braves est signée».
Pendant ce temps, Sidwaya fait savoir que les négociations entre le ministère de la Santé et le SYNTSHA a abouti à «un accord pour le bien-être des malades».
Le confrère relate que le ministre de la Santé, Nicolas Méda et le Syndicat autonome des travailleurs de la santé humaine et animale (SYNTSHA), ont animé, tour à tour, une conférence de presse, hier mardi à Ouagadougou.
«Le paraphe d’un protocole d’accord entre les deux parties, la veille, a été au menu des échanges», rapporte le quotidien national.
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