Santé
|
|
|
Il ne fait pas bon d’avoir le besoin de recourir à un professionnel de la santé ces derniers temps. Une grève du Syndicat national de la santé et de l’action sociale, promotion de la famille (SNS-AS-PF), paralyse les activités dans les hôpitaux et centres de santé sous le regard impuissant des patients.
|
|
Les hôpitaux et les structures de santé communautaire observent un débrayage à l’initiative du Syndicat national de la santé et de l’action sociale, promotion de la famille (SNS-AS-PF). Les victimes de cette grève illimitée entamée le 9 mars dernier ne sont autres que les patients. C’est impuissant qu’ils constatent dans les centres hospitaliers, l’absence du corps soignant et des services au ralenti.
“Les négociations ne sont pas rouvertes, la grève illimitée continue…”, déclare le Pr. Mamady Kané, secrétaire général du SNS-AS-PF.
Depuis le 9 mars dernier, les hommes en blouses blanches exigent à travers une grève illimitée, la satisfaction des revendications au nombre desquels: l’augmentation des primes (prime de fonction spéciale, de garde et monture ainsi que l’intégration des émoluments des bi-appartenant dans le salaire) et l’intégration des contractuels dans les fonctions publiques ; l’intégration des contractuels et l’adoption d’un plan de carrière pour le personnel de l’action social dans un délai de 2 mois.
|
|
