Entrepreunariat
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En Algérie, les autorités donnent de l'espoir à sa jeunesse. Dans le cadre de la mise en place du dispositif ANSEJ, une chance est donnée à tout jeune porteur de projets, de rééchelonner sa dette bancaire.
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La nouvelle émane du ministre des Finances en expliquant d’abord que l'ANSEJ ne disposait pas d'un mécanisme pour traiter ce genre de situation.
Pour le ministre, ce sont donc les banques qui adopteront le principe de traitement au cas par cas concernant les dossiers des jeunes porteurs de projets désireux de relancer leurs projets. Ceci bien sûr, à des conditions que doivent remplir d’abord les jeunes. Entre autres conditions la disponibilité des équipements financés par un crédit bancaire au niveau de l'entreprise.
Et les équipements financés, rappelle le ministre, ne doivent pas avoir fait l'objet d'une transaction commerciale. Avant d’insister sur un point: le jeune porteur de projet doit également s'engager à rembourser une partie des redevances dont le taux de remboursement sera fixé de commun accord entre le promoteur et la banque.
Autre condition: le dossier en question ne doit pas avoir été transféré au Fond de garantie des crédits (FGAR) pour indemnisation. C’est pourquoi, les jeunes porteurs de projets sont invités à se rapprocher des agences bancaires en vue d'examiner le rééchelonnement de leur dette et la relance de leurs activités.
M. Baba Ammi a indiqué que le point relatif à l'exemption des jeunes porteurs de projets du taux d'intérêt appliqué aux crédits bancaires de cette formule, a été pris en charge en vertu des dispositions de l'article 1 du décret exécutif N°13-253, promulgué en juillet 2013.
Les dispositions de l'article 1 du texte de loi a fixé le taux de bonification sur le taux d'intérêt à 100 % du taux du débiteur appliqué par les banques et les établissements financiers au titre des investissements réalisés dans tous les secteurs d'activité.
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