Politique
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Lors du 28e sommet de l’Union africaine en Ethiopie, les travaux en huis clos ont permis aux membres de l’UA d’arrêter en commun, une idée de sortir en bloc de la Cour Pénale Internationale (CPI).
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On reproche à la CPI de trop de partialité à l’égard des chefs d’Etat africains. En plus, il est avancé que les pays africains ne sont pas traités équitablement par la Cour. On l'accuse aussi de ne viser que des africains et de se comporte comme une institution néo-coloniale pour juger les pays africains.
La question est de savoir si tous les pays membres de l’UA quitteront la Cpi. En attendant, le géant africain, le Nigéria lui par la voix du sieur Clément Aduku, porte-parole du ministère nigérian des Affaires étrangères, a donné la position de son pays. Le Nigéria ne veut pas quitter la Cpi.
Le Nigéria dit ne pas souscrire à la mesure adoptée par l'UA pour le retrait collectif de la CPI. Selon le chef de la diplomatie nigériane, le plaidoyer n’a pas été accepté par tous les pays membre de l’UA.
Selon le Nigéria par la voix du ministre des affaires étrangères, chaque pays a adhéré volontairement au Statut de Rome et que si "chaque pays veut se retirer, il a le droit de le faire individuellement".
Les pays qui ont publiquement annoncé leur retrait de la CPI sont le Burundi, l'Afrique du Sud et la Gambie. D’autres pays tels que la Namibie, le Kenya et l'Ouganda envisagent de se retirer de la Cour.
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