Société
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Les journaux burkinabè de ce jeudi, ont consacré leurs Unes à la défaite, la veille, des Etalons du Burkina Faso face aux Pharaons d’Egypte, en demi-finale de la Coupe d’Afrique des nations (CAN).
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«Burkina Faso # Egypte : Les Etalons tombent les armes à la main», affiche, le quotidien national Sidwaya qui renseigne qu’au cours de 120 minutes de jeu, l’équipe burkinabè a tenu en échec celle égyptienne (1-1), avant de s’incliner aux tirs aux buts (3-4)».
Selon Sidwaya le rêve de caresser pour la première fois dame coupe en phase finale de CAN s’est achevé sur «un quadragénaire».
«Les pieds des minots burkinabè ont tremblé devant le monument du football égyptien Essam El Hadary à la séance des tirs aux buts», commente le confrère.
Pour sa part, Le Pays, quotidien privé, arbore dans le même sens: «Victoire de l’Egypte face au Burkina : Les Etalons tombent, le mors aux dents».
De son côté, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, dans son «Regard sur l’actualité», titre : «CAN 2017 : Etalons, merci de nous avoir fait rêver !».
Et le commentateur de faire remarquer qu’«il faut croire que ces pyramides égyptiennes sont finalement infranchissables pour les Etalons».
Dans la même veine, le journal Le Quotidien mentionne que «les Etalons tombent face à leur bête noire», rappelant que les l’équipe nationale du Burkina Faso ne rééditeront pas l’exploit de 2013 où ils avaient atteint la finale de la CAN.
Quant à Aujourd’hui au Faso, il consacre également son éditorial au sujet en présentant cette Une : «L’histoire a encore bégayé à Libreville».
Le journal écrit que «l’histoire footballistique a donc encore bégayé dans la capitale gabonaise car 19 ans après Bobo-Dioulasso (2e ville du Burkina, Ndlr), les Pharaons ont encore arrêté net, le galop des Etalons que beaucoup comparait déjà à des canassons».
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