Société
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La presse congolaise, parue ce mardi, se fait l’écho de plusieurs sujets dont le 28ème sommet de l’UA ouvert à Addis-Abeba, la CAN de football où d’ambitieux Etalons du Burkina Faso sont en demi-finale et le retour de l’insécurité dans le département du Pool.
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«28ème sommet de l’Union Africaine (UA) : Moussa Faki Mahamat succède à Nkosazana Dlamini –Zumala à la tête de la Commisssion de l’UA », titre l’unique quotidien du pays, Les Dépêches de Brazzaville, qui rapporte que « Le ministre tchadien des affaires étrangères, Moussa Faki Mahamat, a été élu lundi par les 54 Etats membres de l’Union Africaine comme président de la commission de cette organisation (…) il succède ainsi à la sud-africaine Nkosazana Dlamini –Zuma. »
Ce quotidien fait un zoom sur les grands moments de ce sommet et souligne que « le président tchadien Idriss Déby Itno a passé le témoin à son homologue de la Guinée, Alpha Condé, en tant que président en exercice de cette organisation ». Le journal signale aussi le grand retour du Maroc au sein de l’organisation panafricaine.
Les Dépêches de Brazzaville parlent aussi de la Coupe d’Afrique des Nations Gabon 2017 dont on connait les quatre équipes demi-finalistes. « Les +Étalons+ du Burkina Faso sont les seuls qualifiés en demi-finale de cette 31ème édition de la CAN qui n’ont jamais remporté le titre continental. Ils vont croiser l’Egypte et le Ghana sera face au Cameroun », explique le quotidien congolais.
Quant à l’hebdomadaire Sel-Piment, il revient sur l’insécurité dans le département du Pool (sud de Brazzaville) où l’armée est en action depuis le 4 avril 2016 pour traquer Frédéric Bintsamou (Pasteur Ntumi) et sa milice. Selon l’hebdomadaire, « une embuscade de la milice de Ntumi a fait près de 20 militaires tués courant janvier».
Pour sa part, le bihebdomadaire La semaine Africaine relaie les propos du Secrétaire général de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS), Pascal Tsaty Mabiala, lors de la présentation de ses vœux à la presse le 28 janvier.
Citant ce dernier, la Semaine africaine écrit : « depuis la publication officielle des résultats de l’élection présidentielle du 20 mars 2016, le pays ressemble à une jungle dans laquelle les plus féroces imposent leur logique aux autres (…) des opposants sont traqué, arrêtés, torturés sans scrupule et jetés en prison à travers des procédures judiciaires iniques. »
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