Société
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Pendant une semaine des étudiants des universités publiques du Tchad n’ont pas pu rallier les amphithéâtres faute de bus de transport. La grève du Syndicat national des enseignants des enseignants chercheurs du supérieur (Synecs) couplée à ce désagrément a affecté le système de rotation des transports.
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Depuis ce lundi 16 janvier, les bus de transport des Etudiants de l’Université de N’Djamena sont à nouveau visibles dans la capitale tchadienne. Pendant une semaine, les rotations dans la ville pour convoyer les étudiants vers le campus de Toukra et la faculté des Sciences exactes de Farcha, étaient interrompues, faute d’essence.
Pour les étudiants, ce sont deux semaines de perdues alors que la reprise des cours annoncée par le Synces n’est effective qu’un mois. Un mois au cours duquel, le gouvernement devra trouver des solutions idoines et pérennes à leurs revendications, au risque de voir la grève reprendre.
Les étudiants se rappellent aussi au souvenir de leurs dirigeants, exigeant que leurs bourses leurs soient payées au plus vite. Le retour au calme dans le secteur de l'éducation n'est visiblement pas pour demain.
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