Société
|
|
|
Les quotidiens marocains parus ce vendredi s’intéresse à divers sujets notamment la deuxième phase de l'opération d’intégration des personnes en situation irrégulière au Maroc, l’école publique et la croissance économique dans le Royaume.
|
|
Les quotidiens marocains parus ce vendredi s’intéresse à divers sujets notamment la deuxième phase de l'opération d’intégration des personnes en situation irrégulière au Maroc, l’école publique et la croissance économique dans le Royaume.
+Al Ahdath Al Maghribia+ souligne que la deuxième phase de l'opération d’intégration des personnes en situation irrégulière au Maroc, a débuté, jeudi, au niveau des différentes préfectures du Royaume.
Les autorités concernées par cette opération ont mobilisé toutes les ressources logistiques et humaines nécessaires à la réussite de cette deuxième phase, à l'instar de la première lancée en 2014 et qui avait connu un franc succès au niveau national, en facilitant l'intégration des migrants, notamment subsahariens au sein de la société marocaine.
De son côté, +Bayane Al Yaoum+ commente l’expulsion par Alger de migrants africains.
Alors que le Maroc a adopté une approche globale en matière d’immigration, en lançant notamment la deuxième phase d’intégration des personnes en situation irrégulière, les autorités algériennes ont surpris l'opinion internationale par l’expulsion de 1.400 migrants de leur territoire, sous prétexte que les migrants africains sont responsables de la propagation de maladies en Algérie, écrit la publication.
Ce traitement inhumain de migrants africains, Alger l’avait déjà réservé aux Marocains en 1975, en expulsant des dizaines de milliers de résidents marocains sur son territoire, rappelle le journal, notant que l’Algérie s’alarme du retour du Maroc à l’Union africaine, de la qualité des relations qu’entretient le Royaume avec le Sénégal et de la mise en oeuvre du modèle de développement en faveur des provinces du sud, entre autres.
+Al Bayane+ revient sur la situation de l’école publique. Le journal indique qu’au-delà des prestations des personnes qui, tant bien que mal, s’ingénient à sortir leur épingle de jeu, « la déconvenue éducative est certaine ».
Il dénonce le manque de qualité de l’enseignement dispensé dans l’école publique, précisant que les petits apprenants des milieux ruraux « vivent la déchéance de bout en bout », des étudiants «ne savent ni parler correctement les langues, ni disserter comme il se doit et que l’université « n’enfante plus de cadres éclairés et civiques depuis que le débat profond et fécond est remplacé par la haine et l’extrémisme ».
+Akhbar Al Yaoum+ relève que la croissance économique au Maroc devrait chuter de près de 3 pc en 2016 pour s'établir à 1,8 pc, compte tenu de la baisse anticipée des activités agricoles en raison des faibles pluies.
Elle connaîtra cependant une petite lancée en 2017, pour se situer à 3,5 pc, selon les pronostics de la Banque africaine de développement (BAD). Cité par le quotidien, un rapport de la BAD a indiqué qu'à la lumière de cette situation le gouvernement s'orientera vers la suppression des subventions, notamment du sucre.
|
|
