Politique
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Ça ne passera pas cette fois-ci non plus. Jacob Zuma a une fois de plus survécu à une motion défiance émise à son encontre par l’Alliance Démocratique (DA), principal parti d’opposition en Afrique du Sud. Cette requête est intervenu est intervenu suite à la publication d’un rapport sur la corruption dans lequel le nom du président sud-africain est cité.
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126 voix pour et 214 voix contre. C’est le résultat du vote sur la motion défiance introduite par l’Alliance Démocratique (DA) visant Jacob Zuma. Une fois de plus, la troisième fois en un an, l’ African National Congress (ANC), parti majoritaire au parlement Sud-Africain, n’a pas lâché son président alors qu’une motion de défiance visait à le démettre de ses fonctions.
L’ancien compagnon de lutte de Nelson Mandela défraie la chronique depuis son accession au pouvoir en 2009. Les scandales financiers succèdent aux accusations de corruption en passant par une proximité malsaine avec les milieux d’affaires. Grâce au soutien de son parti, il a, à chaque fois réussi à se sortir d’affaire.
La publication il y a une semaine, d'un rapport de la médiatrice de la République sur l'influence exercée sur le gouvernement par la richissime famille Gupta, ne réussira pas non plus à le faire tomber.
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