Justice
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Suite à l’annonce de leur retrait de la cour pénale internationale (CPI), l'Afrique du sud et le Burundi ont été invités à revoir leur décision. C'est unne invitation de la part de Me Sidiki Kaba, président de l'Assemblée des Etats Partis au statut de Rome.
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D’après ses explications, le choix de ces deux pays peuvent se comprendre vu le nombre d'affaires en instance à la CPI. Toutes ou presque ne concernent que des dirigeants africains.
Sur le choix des deux pays, le ministre sénégalais de la justice, Me Sidiki Kaba, estime que "l'entrée ou la sortie de la CPI est un choix, mais aussi un acte de souveraineté. C'est la liberté de chaque pays et on ne peut pas imposer à quelqu'un de rester".
Si le ministre sénégalais est d’avis que, "l’atteinte de la justice universelle est encore loin", il sait aussi que, "la justice universelle ne sera atteinte que quand la quasi-totalité des états auront rejoint le statut de Rome".
Une invite certaine aux autres pays qui traine le pas à ratifier le statut de Rome. C’est pourquoi, il a laissé entendre que, des efforts doivent être fournis pour corriger les imperfections de la Cour pénale internationale.
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