Choix de l'éditeur  | Version digest   
Maghreb  |  Afrique de l'Ouest  |  Afrique Centrale  |  Afrique de l'Est  |  Afrique Australe  |  Ocean Indien  
L'actualité de toute l'Afrique en continu
Home | Politique | Sport | Société | Economie | Revue de presse | Opinions   

République Centrafricaine Le bilan de la ville morte au menu de la presse centrafricaine


Société

Apanews | | Commenter |Imprimer

Le bilan de la journée ville morte, observée la veille à Bangui, à l’appel de la société civile fait, ce mardi, l’essentiel des manchettes de la presse.


Sous le titre « Plus de 8 personnes tuées », le Réseau des journalistes en droits de l’homme (RJDH) insiste sur les violences en cours dans le pays avant d’ajouter que la société civile pointe du doigt la MINUSCA, l’accusant d’avoir tiré sur la population civile. Cette accusation, écrit RJDH, est rejetée par l’institution onusienne qui dit avoir seulement procédé au démantèlement des barrières.

Sur un autre plan, note le journal, le gouvernement accuse la société civile d’être à la solde des politiques qui visent à porter un coup dur à la table ronde des partenaires financiers et techniques de Centrafrique à Bruxelles prévue pour le 17 novembre.

« Ville morte inaperçue dans les provinces », titre de son côté le journal La Renaissance qui relève que la majorité des villes de province n’a pas observé la journée ville morte décrétée par une partie de la société civile contre les troupes de la MINUSCA. A Bossangoa, au nord, la population a plutôt célébré la journée mondiale des Nations Unies.

Le RJDH qui rebondit sur l’inobservation de la ville morte en province souligne que le groupe de travail de la société civile a lancé une pétition afin de demander le retrait des forces de la Minusca de Centrafrique. Les raisons évoquées sont entre autres, la connivence de celle-ci avec les groupes armés et la passiveté dans la restauration de la sécurité à l’intérieur du pays.

Faute de sensibilisation, le mot d’ordre n’a toutefois pas été respecté partout, indique RJDH qui reproduit ces propos d’un habitant de Boali (centre) :« nous avons été informés sur RFI de la tenue de ville morte. Tous les secteurs sont opérationnels ».

Même situation à Bambari où les activités scolaires, commerciales Se sont déroulées normalement.

A Nzako à l’est, ce mot d’ordre est timidement observé, « l’administration est fermée. Mais les activités scolaires, commerciales, agricoles sont opérationnelles. L’information de cette ville morte n’a pas été expliquée à la population de la ville de Nzako », indique un agent de l’Etat cité par le RJDH qui fait remarquer que plusieurs autres villes des provinces n’ont pas observé le mot d’ordre.



Autres titres
République Centrafricaine Visite de haut-niveau à Bangui: des leaders religieux prêchent pour un dialogue inclusif 
Burkina-Faso Chambre des métiers de l'artisanat: les 95 élus de la 3e mandature sont connus 
Bénin Soutien du gouvernement béninois aux couches vulnérables: 45 personnes handicapées formées reçoivent leurs attestations 
Plus de nouvelles



RECHERCHE
République Centrafricaine Visite de haut-niveau à Bangui: des leaders religieux prêchent pour un dialogue inclusif 
République Centrafricaine Fêtes des mères édition 2021: l’association des femmes de la présidence organise une exposition vente au palais de la renaissance 
République Centrafricaine Améliorer la qualité des procès-verbaux dans les unités de Gendarmerie et de Police 

TOUTE L'ACTUALITE
► POLITIQUE
► SPORTS
► SOCIETE
► ECONOMIE ET FINANCES

CONTRIBUTIONS
► OPINIONS
► CHRONIQUES
► ANALYSES
► Envoyez-nous vos contributions
Afrique : Toute l'Afrique
Afrique du Nord : Algérie   Maroc   Tunisie
Afrique de l'Ouest : Bénin   Burkina-Faso   Côte d'Ivoire   Ghana   Guinée   Mali  
Nigeria   Sénégal   Togo
Afrique Centrale : Burundi   Cameroun   Centrafrique (Rép)   Congo   Congo RDC   Gabon  
Rwanda   Tchad

© EXIN MEDIA. | Contactez-nous | Mention légale | Partenaires