Economie et finances
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A l’avant veille de la réunion informelle de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) qui se tiendra à Alger, les prix du pétrole enregistraient déjà lundi dernier, une légère hausse au cours d’échanges européens.
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Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 46,51 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres en milieu de matinée, en hausse de 62 cents par rapport à la clôture de vendredi dernier.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange(Nymex), le baril de " light sweet crude " (WTI) pour la même échéance gagnait 52 cents à 45 dollars.
La réunion informelle des pays membres de l’Opep se tient mercredi prochain. Plusieurs responsables de l’organisation se montraient plus ou moins optimistes sur la perspective d’un gel de la production mondiale d’or noir.
Des analystes depuis Londres expliquent que, la légère hausse du lundi dernier fait suite aux dernières déclarations du ministre de l’Energie, Noureddine Boutarfa, qui a affirmé dimanche à Alger que l’Opep était " condamnée à prendre une décision" pour stabiliser les cours. "Si les prix du pétrole tombaient sous les 40 dollars pour trois ou quatre semaines, les têtes d’affiche que sont l’Arabie Saoudite, l’Iran et la Russie (qui est également présente à Alger, mais ne fait pas partie de l’Opep NDLR) trouveraient probablement un terrain d’entente ", précisent les expertsde JBC Energy.
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