Justice
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La chambre d’accusation de la cour d’appel de Brazzaville a convoqué pour ce jeudi 11 août, le général Michel Mokoko. Candidat malheureux à la présidentielle dernière, il a été arrêté et emprisonné il y a deux mois de cela. Comme chef d’accusation à son encontre, "atteinte à la sureté intérieure de l’Etat et détention illégale d’armes de guerre".
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A l’origine de cette affaire, une vidéo qui circulait sur internet, le présentant en train de discuter sur plusieurs sujets. Pour les autorités, l’ancien chef d’état-major, était en train de fomenter un complot pour renverser les institutions congolaises.
Et ce jeudi, le général sera devant les juges de la Cour d’Appel de façon publique. Il ne sera pas seul. Certains de ses amis et proches arrêtés en même temps que lui, seront aussi dans le boxe des accusés. On cite Anatole Limbogo Ngoka, Jacques Banagandzala et Jean Ngouabi.
Jean Marie Michel Mokoko, avait été arrêté le 16 juin dernier, dans un contexte où, l’opposition congolaise toute entière, conteste les résultats du scrutin présidentiel avec pour vainqueur, Denis Sassou.
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