Politique
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Qui pourra succéder à Ali Bongo après 2022 s’il est réélu pour une seconde fois à la présidentielle d’août prochain ? Une interrogation difficile à répondre. La fille d’Ali Bongo éclaire l’opinion sur la question de la succession à son père.
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Malika Dossou Bongo Ondimba, ainée d’Ali Bongo et également Maire adjoint du deuxième arrondissement de la commune d’Akanda pour le Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir), rêve déjà devenir présidente de la République. Peut-être une autre succession de Bongo à Bongo se profile-t-elle à l’horizon.
La fille du président, sur sa page facebook, a situé l’opinion sur ses ambitions politiques. Sur sa page facebook, elle écrit qu’elle compte pas “s’arrêter à ce statut administratif que m’a conféré l’Etat car j’ai des ambitions énormes pour le Gabon, des ambitions d’indépendance à une totale souveraineté (…)”, précise-t-elle. Puis de conclure son post par cette phrase dénuée de subtilité : “Pourquoi pas une femme présidente de la république du GABON en 2022 ? Tout sera possible”.
Au Gabon, Malika Dossou Bongo s’est fait remarquer à travers son projet “Défis de femmes” qui est une plateforme d’aide aux mères et familles désœuvrées, et pour avoir relancé le concours Miss Gabon. Elle est issue du mariage, dans les années 1980 d’Ali Bongo avec la Franco-Gabonaise Annick Aubierge Lafitte Mouvagha.
Depuis 2010, Malika Bongo, spécialisée dans les relations internationales à l’université de la Sorbonne à Paris, est l‘épouse de Steve Dossou, le fils de Samuel Dossou, patron de Petrolin Group et ex-conseiller spécial d’Omar Bongo Ondimba.
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DUMONDE |
Jeudi, 30 Juin 2016
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Les Gabonais disent que ton père n'est pas Gabonais! c'est toi qui est Gabonaise? Vous nous emmerdez les fils et petit fils des Présidents.
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Cogito |
Mardi, 21 Juin 2016
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De n'importe quoi. "Birds of a feather flock together". quel réel changement la fille d'Ali Bongo pourrait apporter à la gouvernance gabonnaise? Gabon est-il un royaume ou une république? Que tout cela cesse. A cet effet, je lance un appel solennel aux Africaines et Africains, aux ami(e)s de l'Afrique pour faire blocage à ce nouveau courant dont souffre l'Afrique.
Par la mondialisation et la globalisation, il est limpide que nous sommes tous concernés.
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