Société
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Organisé à Cotonou du 26 au 28 mai 2015, le symposium international consacré au lancement de l’initiative africaine d’éducation à la paix et au développement par le dialogue interreligieux et interculturel est de nouveau d’actualité.
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Cette importante rencontre initiée par le président du Centre panafricain prospective sociale (CPPS-IAT), le professeur Albert Tévoédjrè, a connu la présence de plusieurs personnalités. A l’ouverture des travaux, Albert Tévoédjrè a précisé qu’il s’agira d’harmoniser les points de vue ainsi que les modalités en vue d’un meilleur financement du projet. Il est revenu sur le manifeste édité à l’issue du lancement du projet, en 2015, qui a reçu une bonne note des organismes internationaux.
« Il est temps de dire si ce manifeste a produit des effets. Nous voulons que cet atelier accouche d’un programme qui permette aux institutions internationales de financement de porter leur point de vue sur ce qui sera composé », a-t-il laissé entendre.
Le professeur n’a pas caché sa satisfaction pour la participation effective du gouvernement béninois à travers son ministre de l’intérieur, Sacca Lafia, et d’autres personnalités venues du Burkina Faso, du Togo, de la Côte d’Ivoire et autres. Ce qui démontre leur souci du maintien de la paix en Afrique et dans le monde.
Il a particulièrement adressé de vive voix ses remerciements aux chefs d’Etat togolais et ivoirien, Faure Gnassigbé Eyadéma et Alassane Dramane Ouattara qui ont travaillé pour la pérennisation de cette initiative, sans oublier le gouvernement japonais pour l’octroi d’une somme de deux cent millions pour soutenir l’initiative.
« Ce n’est pas un projet gouvernemental mais un projet des peuples. Nous voulons qu’il y ait un réseau international de soutien à ce que nous voulons faire et il faut que des personnalités nous aident dans cette réforme », a-t-il conclu.
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