Sécurité
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Photo d'illustration
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Les mesures d’entrée sur le territoire ivoirien ont été revues suite à l’attaque terroriste perpétrée à Grand-Bassam le 13 mars dernier. Ces nouvelles dispositions reposent notamment sur la présentation de documents fiables.
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Au lendemain de l’attaque de Grand-Bassam qui a endeuillé la Cote d’Ivoire, plusieurs mesures sécuritaires ont été prises par les autorités ivoiriennes. Outre le renforcement de la sécurité dans le pays, s’ajoute celles de l'entrée dans le pays. L’accès au territoire est désormais strictement subordonné à la présentation de document d’identité " biométrique ".
Le ministre d'Etat, ministre de l'intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko, lors d’un point de presse sur l’attaque terroriste de la ville balnéaire a informé de ladite mesure. " La Côte d'Ivoire ne laissera pas rentrer sur son territoire, une personne si elle n'a pas un document fiable (biométrique)", a-t-il indiqué.
Le ministre en charge de la sécurité reconnait que le terrorisme, " c'est une nébuleuse(…) une menace invisible ". Pour mener une lutte efficace, les autorités ont procédés au renforcement de la sécurité, à la sensibilisation, à la formation, et au renforcement de la surveillance au niveau des frontières.
Notons que pour la sécurisation du pays, 279 agents en civils et 10 000 forces de défense et de sécurité sont déployés sur l'ensemble du territoire national depuis le drame.
L’attentat de Grand-Bassam a fait 19 décès et 33 blessés. Aux dernières nouvelles, 15 personnes ont été interpellées dans le cadre de l’enquête ouverte à ce propos. Un avis de recherche visant le principal suspect Kounta Dallah a aussi été lancé.
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