Société
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Au total 2300 Algériens et aux 3000 Marocains sont toujours confrontés à un refus d’octroi du droit d’asile par les autorités allemandes. Ces derniers sont menacés par un retour au pays mais tout coince pour eux.
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Demander aux 2300 Algériens et aux 3000 Marocains demandeurs d’asile en Allemagne, selon les statistiques de l’Office fédéral allemand de l’immigration et des réfugiés, quel sera leur sort dans les jours à venir, c’est aller jusqu’à leur demander à quand sera leur date de décès.
Pour ces demandeurs d'asile, arrivés au pays de la Chancelière Angela Merkel, dans le courant du mois de décembre 2015 pour s’ajouter aux 1500 déjà présents dans le pays depuis septembre de la même année, leur problème est parti de ce que le Parti bavarois (Union chrétienne-sociale en Bavière) d’où est issue la chancelière Angela Merkel, ait appelé les autorités allemandes à déclarer ces deux nations (l’Algérie et le Maroc) comme pays stables. Et donc, à accélérer le retour des ressortissants de ces deux pays qui demandent un asile politique. Un appel du Parti Bavarois qui est déjà jugé contraire à la commission européenne du droit d’asile qui, de tout temps, a fourni comme explication à cette affluence de migrants Algériens et Marocains vers l’Europe par les atteintes aux droits de l’Homme qui ont souvent cours dans ce pays de l’Afrique centrale.
En tout cas avec cette affluence, il est confirmé que les pays de l’Europe centrale sont devenus ces dernières années des destinations très prisées par les clandestins des pays du Maghreb au grand dam de l’Espagne et la France.
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