Diplomatie
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A l’étape actuelle où les choses sont allées très vite ces deux derniers jours, la question est de savoir si l’on pourrait encore contenir une telle crise. Mais c’est ce à quoi convie le stère algérien des Affaires étrangères et de la coopération internationale.
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Ce dernier, par un communiqué a indiqué suivre ‘‘avec une vive préoccupation l’escalade de la tension entre le Royaume d’Arabie saoudite et la République Islamique d’Iran, et regrette profondément la dégradation des relations difficiles entre les deux pays frères en une crise ouverte’’.
Ainsi, le pays de Bouteflika dit appeler ‘‘instamment les directions politiques des deux pays à la retenue’’ et à ‘‘éviter une détérioration accrue de la situation qui aurait des conséquences dommageables graves au double plan bilatéral et régional dans un contexte géopolitique et sécuritaire particulièrement sensible’’.
C’est donc se rappelant des relations souvent faites de plusieurs litiges entre les deux pays, l’Iran et l’Arabie saoudite que les autorités d’Alger convient ces deux Etats ‘‘à mettre leur engagement en faveur des valeurs pérennes et des enseignements fédérateurs de notre Sainte religion musulmane, en particulier la sacralité de la vie humaine et l’inadmissibilité de toute confrontation fratricide, au dessus des dissensions et des contingences, quelle qu’en soit la nature’’.
Il faut dire que c’est l’exécution de l’opposant chiite Nimr Baqr al-Nimr ainsi que de 46 autres adeptes qui a conduit à cette escalade de tension à laquelle on assiste depuis dimanche dernier.
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