Sécurité
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L’information est bien des autorités tunisiennes qui ont affirmé hier vendredi avoir déjoué un projet terroriste d’envergure contre la ville côtière de Sousse, ville qui a été frappée déjà en juin dernier par une attaque terroriste meurtrière dont l’auteur a été un jeune étudiant.
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Selon ces autorités, dont le ministère de l’Intérieur se faisait l’écho, un réseau de jeunes suspectés de terrorisme neutralisé il y a de cela quelques jours avait en projet ‘‘d’attaquer des structures sécuritaires, militaires et économiques, ainsi que des personnalités politiques’’ dans la droite ligne d’une vaste campagne antiterroriste dont faisait également partie l’attentat-suicide du mardi dernier à Tunis contre un bus de la Garde présidentielle.
D’après la même source, ce groupe d’individus qui se faisait appeler ‘‘Al Fourqan’’ entrevoyait ‘‘semer le chaos et démontrer la fragilité de l’Etat et son incapacité à maîtriser la situation sécuritaire, à la lumière des plans, des données, des dessins, des cartes et des images en possession’’. Une trentaine de personnes dont une femme, ce groupe était selon les indications subdivisé en deux cellules avec à leur tête ‘‘deux dangereux éléments, revenus dernièrement de Syrie’’, elles nourrissaient des idéaux takfiristes et sont reconnues pour avoir eu des ramifications avec plusieurs attaques subi par la Tunisie depuis 2006.
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