Société
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Le lundi 15 décembre dernier, une femme a tué sa propre fille à cause de cinq cents (500) francs congolais. C’était dans la ville de Boma.
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La maman avait chargé son enfant de lui vendre quelques produits alimentaires au petit commerce à la devanture de leur maison. Au moment de faire les comptes, il a été constaté un déficit de 500 francs congolais. Dans toute sa colère, la jeune maman se déchaina sur sa fille et la frappa à mort. Celle-ci perdit connaissance. Mais, elle ne reprendra guère conscience. Elle a rendu l’âme dans un centre de santé proche de la maison.
La maman a aussitôt été arrêtée et détenue à la prison centrale de Boma. Par contre le corps de sa fille a été déposé à la morgue de l’hôpital général de référence de Boma.
Soixante douze (72) heures après l'incident, soit le mercredi 17 décembre, un autre forfait a été commis au quartier urbain de N’sele, dans la commune de Nganza, à Kananga, au Kasaï-Occidental.
Toujours, une maman a également tué son propre fils de 7 ans à cause d’un plat de bidia (tapioka). Il s’avère que le plat a été réservé aux autres enfants de la famille ; mais, le petit, sans demander permission à sa mère, l’a mangé tout seul. En réaction, la maman a assommé le petit de 7 ans à coups de bâton et des poings jusqu’à ce que la mort s’en suive. Aussitôt, elle a pris la clé des champs et est introuvable jusqu’alors.
Néanmoins, le malheureux petit a été inhumé au cimetière municipal de Nganza dans un climat de consternation totale.
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